vendredi 4 mai 2007
lundi 30 avril 2007
Teaser de la vidéo réalisée par le groupe "Regards Croisés"
Voici en avant première la vidéo "Regards Croisés"
dimanche 29 avril 2007
mardi 24 avril 2007
Exposition au musée d'Art et d'Histoire
Dès le 27 avril aura lieu au Musée d'Art et d'Histoire une exposition axée sur les dernières découvertes archéologiques faites à Gaza. Le vernissage a lieu le jeudi 26 avril, dès 18h.
carton de l'exposition
lundi 23 avril 2007
jeudi 5 avril 2007
Le groupe d’écriture
Leur travail se concentre sur la sélection des phrases qui condensent les idées chocs et primordiales autour de la question du statut de l’image de presse. Dans une deuxième étape, le groupe exploite les surfaces de la salle tout en prévoyant les éventuels derniers déplacements et changements dus à l’accrochage définitif. Certaines phrases seront posées en ton sur ton, d’autre en couleurs contrastées. Budgétairement, il est encore difficile pour le groupe de définir la taille des phrases qui seront ensuite découpées au laser.
Le groupe témoigne de sa satisfaction à avoir apporter une originalité à l’espace au moyen de voix citant un ensemble de phrases, chuchotées. Reste à définir qui prononcera les phrases.
Julien Gurtner confiait qu’il était surtout important de s’organiser avec le groupe de muséographie pour qu’ils n’empiètent pas sur leur terrain, qu’ils se donnent un espace d’expression respectif ouvert. C’est un travail qui s’est révélé petit à petit intéressant. Le groupe craignait en effet surtout de savoir quelle place pour la créativité dans ce contexte très contraignant de salle d’exposition. Mais le groupe se donne avec motiv’!
Le groupe témoigne de sa satisfaction à avoir apporter une originalité à l’espace au moyen de voix citant un ensemble de phrases, chuchotées. Reste à définir qui prononcera les phrases.
Julien Gurtner confiait qu’il était surtout important de s’organiser avec le groupe de muséographie pour qu’ils n’empiètent pas sur leur terrain, qu’ils se donnent un espace d’expression respectif ouvert. C’est un travail qui s’est révélé petit à petit intéressant. Le groupe craignait en effet surtout de savoir quelle place pour la créativité dans ce contexte très contraignant de salle d’exposition. Mais le groupe se donne avec motiv’!
Préparation du carton d'invitation
Groupe presse et photographie
Ce groupe, composé de quatre membres, était chargé de regrouper des coupures de presse traitant du conflit Israélo-palestinien. Pour l’exposition, les articles seront présentés tels quels, accrochés en feuilles volantes. Le groupe a passé au stabylo les mots « Israël », « Palestine » et « Gaza » afin de les comptabiliser et de comparer leur utilisation.
Un total de 60 articles, principalement de journaux suisses romands et français, mais aussi des articles en allemand et en italien composeront un mur d’environ 9m2. Le groupe dispose également de quelques articles en arabe, mais n’a trouvé personne pour en traduire le contenu.
Les articles n’ont pas été analysés pour en déterminer les partis pris, mais une constatation ressort, « dès que l’article parle du Hamas, la photo représente des hommes armés ».
Groupe choix des images
Ce groupe, composé de cinq membres, était chargé du choix des images à exposer. Parmi plus de 80 photographies de Steeve Inucker, ils en ont retenu 27. Le choix s’est fait en composant des groupes d’images, selon le sujet, les éléments graphiques ou encore l’harmonie des couleurs. Beaucoup de photographies dépeignent les gestes du quotidien, car Steeve Inucker, qui s’est beaucoup impliqué dans le processus de séléction, désirait montrer autre chose que la violence.
Dans l’ensemble, le groupe est satisfait de son travail, et tous ses membres iraient voir l’exposition si ils n’avaient pas participé au montage,
Dans l’ensemble, le groupe est satisfait de son travail, et tous ses membres iraient voir l’exposition si ils n’avaient pas participé au montage,
Le groupe muséographie
Le groupe rencontre de nombreuses difficultés qui donnent lieu à des discutions de fond sur la prise dans l’espace des différents supports d’exposition, leur multiplicité. A cela s’ajoute des contraintes budgétaires et l’obligation d’une certaine souplesse dans l’organisation puisque le groupe est dépendant des travaux des autres qu’il insèrera progressivement.
La muséographie s’organisera autour de deux espaces avec une partie didactique et une partie exposition. La première exposera la presse écrite sur le conflit israelo-palestinien, l’interview de Steeve Iuncker, les différentes publications des images du photographe et un ordinateur présentant notre blog… La partie plus spacieuse exposera 27 photographies de Steeve Iuncker.
Les membres du groupe soulèvent la difficulté de coordonner tous ses éléments. La présence de l’artiste-photographe et du commissaire est imposante pour les étudiants qui doivent apprendre en peu de temps à résoudre chaque contrainte tout en exprimant une certaine créativité. Il est aussi difficile d’appréhender le résultat visuel de ces combinaisons, l’étape la plus intéressante sera l’accrochage sur place.
Groupe Regards croisés
Ce groupe composé de Gwénola, Christelle, Laurent, Cédric, Myriam et Quentin s’est chargé de confronter les regards de Steeve Iunker et Cédric Gerbehaye portés sur le conflit israélo-palestinien.
Leur travail consistait réaliser une petite vidéo où défileront deux à deux des images faites aux mêmes moments et endroits.
Ils ont rencontré d’abord pas mal de problèmes techniques car ils apprennent en même temps le logiciel « motion ».
Vendredi 30 mars, Ils se sont mis d’accord avec Mme Poiatti et M. Barateli sur la forme définitive que devait prendre la vidéo, mais aujourd’hui, Steeve donne son avis qui n’est pas le même. Ces élèves se retrouvent « le cul entre deux chaises »… Et l’absence de Mme Poiatti s’est ressentie aujourd’hui.
Ce travail de confronter des images était constructif pour l’ensemble du groupe.
Quentin était content de travailler avec des jolies filles : « ce fût un plaisir ».
Leur travail consistait réaliser une petite vidéo où défileront deux à deux des images faites aux mêmes moments et endroits.
Ils ont rencontré d’abord pas mal de problèmes techniques car ils apprennent en même temps le logiciel « motion ».
Vendredi 30 mars, Ils se sont mis d’accord avec Mme Poiatti et M. Barateli sur la forme définitive que devait prendre la vidéo, mais aujourd’hui, Steeve donne son avis qui n’est pas le même. Ces élèves se retrouvent « le cul entre deux chaises »… Et l’absence de Mme Poiatti s’est ressentie aujourd’hui.
Ce travail de confronter des images était constructif pour l’ensemble du groupe.
Quentin était content de travailler avec des jolies filles : « ce fût un plaisir ».
mercredi 28 mars 2007
Journal de 1936
jeudi 22 mars 2007
Jeudi 15 mars 2007 a eu lieu, rue de l’Encyclopédie, une rencontre entre Steeve Iuncker et Cédric Gerbehaye. Ce n’était leur première rencontre. En effet, ces deux photographes se sont rencontrés sur les lieux, dans des circonstances assez atypiques.
Petit portrait de Cédric
En tant qu’élève journaliste, Cédric a décidé, dans sa 4e année d’étude, de réaliser un reportage sur le conflit ISRAÉLO-PALESTINIEN. Et en particulier à Hébron où avait lieu un important couvre-feu. Cette ville abrite en effet un tombeau primordial pour les communautés religieuses.
En rentrant, il propose ses images à un journal à Bruxelles, qui lui demande de repartir en 2003, mais avec un regard orienté sur la crise économique et sociale de la situation à Gaza.
Il part ensuite suivre des kurdes de Turquie et d’Irak.
Cédric et Steeve n’ont pas le même point de vue sur la photo.
Qu’est-ce qui nous intéresse, qu’est-ce qu’on é envie de faire ?
Steeve réalise un travail en couleur, Cédric en noir-blanc.
Durant la matinée, une première question de Quentin est ressortie quand Cédric a proposé ses images en diaporama avec une musique (un peu tragique). L’image a-t-elle le même statut quand elle est accompagnée de son ? Quentin donne son avis : « cela impose aux spectateurs un point de vue sur la situation ». Chacun voit midi à sa porte. Effectivement, Cédric à justement envie de donner son point de vue avec cette musique.
Quelques comparaisons ont été faites entre les reporters qui sont envoyés par l’AFP par exemple. Steeve et Cédric ont la chance de pouvoir suivre un événement dans sa longueur, de voir l’avant, le pendant et l’après. Ce qui est rarement le cas de nombreux journaliste.
Ils racontent une fois ou ils se sont retrouvés pour un enterrement dans une pièce où il fait 45°, avec des cris et une ambiance très prenante. - « Tout ce rayonnement transporte de l’énergie » a dit Steeve. Ce qui leur permet de prendre de la distance face à cette situation poignante, c’est l’appareil photo.
Un petit débat s’est ensuite ouvert sur l’avenir du photojournalisme. Une phrase de Cédric résume le tout. « La presse écrite ne peut pas concurrencer la télévision ou la radio. C’est le même combat entre la photo argentique et la photo numérique ».
Pour le travail de regards croisés, photographe et le journaliste ont décidé de prendre environ trente images chacun qu’il compare avec les thèmes « aux mêmes moments, aux mêmes endroits ».
mardi 13 mars 2007
Christian Caujolle
Le 3 mars 2007, Christian Caujolle, l’un des fondateurs de l’agence Vu, donnait une conférence à la haute école d’art et de design de Genève.
Christian Caujolle a commencé sa conférence en parlant brièvement de l’analphabétisation visuelle de notre société contemporaine, due à l’overdose d’image et au manque d’apprentissage nécessaire à leur lecture. Il a ensuite différencié la photographie de l’image numérique, en insistant sur le fait que la photographie numérique n’existe pas, car contrairement à la photographie elle n’est pas le produit d’une empreinte.
De plus en plus, avec la démocratisation de l’image numérique, il y a danger de manipulation. En effet, nous sommes entourés d’une cacophonie d’images de toute nature, et une image reste le mode d’expression le moins précis qu’il soit. Une image ne participe à l’information que par sa contextualisation, et ne se précise que grâce à sa légende. La lecture d’une image, d’une photo, dépend donc de la (re)connaissance du spectateur.
Après cette introduction, Christian Caujolle nous a présenté le travail de Stanley Greene. Ce photographe américain, ancien assistant d’Eugene Smith, a suivi durant 9 ans le conflit qui embrase la Tchétchénie.Il en a rapporté des clichés forts, témoignages des souffrances infligées à la population civile.
Ces images ont fait l’objet d’un livre d’une exposition à la Galerie Vu. Christian Caujolle a parlé des difficultés d’exposer et de publier des photographies de presse. En effet, outre la sélection des photos, il faut décider d’un sens, chronologique ou pas, et, dans le cas de l’exposition, d’un accrochage qui reste lisible selon le chemin que prend le visiteur. Il a rappelé que chaque détail a un sens et sert à guider la lecture. Il faut absolument éviter le piège de l’exposition linéaire.
En conclusion, il faut rappeler que durant de nombreuses années, la photographie de presse a été considérée comme ne relevant pas du domaine de l’art. Ce point de vue est en train de changer, mais monter une telle exposition, qui, dans le cas de Stanley Greene sont une prise de position visuelle, reste un défi.
Christian Caujolle a commencé sa conférence en parlant brièvement de l’analphabétisation visuelle de notre société contemporaine, due à l’overdose d’image et au manque d’apprentissage nécessaire à leur lecture. Il a ensuite différencié la photographie de l’image numérique, en insistant sur le fait que la photographie numérique n’existe pas, car contrairement à la photographie elle n’est pas le produit d’une empreinte.
De plus en plus, avec la démocratisation de l’image numérique, il y a danger de manipulation. En effet, nous sommes entourés d’une cacophonie d’images de toute nature, et une image reste le mode d’expression le moins précis qu’il soit. Une image ne participe à l’information que par sa contextualisation, et ne se précise que grâce à sa légende. La lecture d’une image, d’une photo, dépend donc de la (re)connaissance du spectateur.
Après cette introduction, Christian Caujolle nous a présenté le travail de Stanley Greene. Ce photographe américain, ancien assistant d’Eugene Smith, a suivi durant 9 ans le conflit qui embrase la Tchétchénie.Il en a rapporté des clichés forts, témoignages des souffrances infligées à la population civile.
Ces images ont fait l’objet d’un livre d’une exposition à la Galerie Vu. Christian Caujolle a parlé des difficultés d’exposer et de publier des photographies de presse. En effet, outre la sélection des photos, il faut décider d’un sens, chronologique ou pas, et, dans le cas de l’exposition, d’un accrochage qui reste lisible selon le chemin que prend le visiteur. Il a rappelé que chaque détail a un sens et sert à guider la lecture. Il faut absolument éviter le piège de l’exposition linéaire.
En conclusion, il faut rappeler que durant de nombreuses années, la photographie de presse a été considérée comme ne relevant pas du domaine de l’art. Ce point de vue est en train de changer, mais monter une telle exposition, qui, dans le cas de Stanley Greene sont une prise de position visuelle, reste un défi.
jeudi 8 mars 2007
L'interview de Steeve Iuncker
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